architecte desa
Dans la chambre :
Créer une tête de lit en papier peint est le moyen idéal pour théâtraliser la chambre. Il trouve sa place au fond d’une niche, au-dessus d’un soubassement, ou sur un mur entier, rarement plus. On le fait dialoguer avec les tables de nuit, les étagères et les éclairages. Il offre l’avantage d’être simple à remplacer en cas d’envie subite de changement de décor ! Photo 1 : projet Tour-Maubourg 2, Photo 2 : projets Jasmin et Tocqueville.
Dans une entrée :
C’est l’élément spectaculaire du premier effet « waow ». Il donne tout de suite un ton sophistiqué au reste de l’intérieur. Dans un vestibule en longueur, il ouvre la perspective. En panoramique, le motif peut être adapté sur mesure à l’espace disponible. Photo 3 : projets Jasmin et Malesherbes.
Escalier et palier :
Dans les coins sombres de l’appartement toutes les audaces sont permises, car il ne s’y passe pas grand-chose. On joue le style couloir d’hôtel ou boudoir néo-70. Dans un escalier, le papier peint joue avec la verticalité. Peu importe que le motif soit sombre, au contraire, il donne l’impression de passer de l’ombre à la lumière en passant les portes des chambres. Photo 4 : projets Recollets et Vieux Colombier.
Un allié utile :
Le papier peint n’est pas seulement esthétique, il peut aussi se révéler très utile. Dans un séjour multi-fonction, il distingue la zone repas de l’espace salon. Dans une petite chambre étroite, il habille le mur de placards tout en créant l’animation. Quand la vue de la fenêtre est triste ou que la pièce est sombre, c’est un sauveur qui attire le regard. Photo 5 : projets Lauriston et Turbigo, Photo 6 : projet Recollets.
